Les procédures décrites ci-après sont accessibles via le menu Outils/Autres outils.
Connaître les marges d’une imprimante
LDPaye propose cette procédure vous permettant de connaître précisément les marges « incompressibles » propres à chaque imprimante. La présence de ces marges peut influer, dans certains cas, sur la présentation de certains états. En effet, la plupart des états livrés dans LDPaye sont conçues avec des marges logiques d’un centimètre. Si les marges physiques de l’imprimante sont supérieures à ces marges logiques, on peut rencontrer des problèmes d’impression : lignes tronquées, ou retours à la ligne intempestifs…
Pour connaître les marges physiques de votre imprimante, lancez cette procédure par l’option Outils/Autres outils/Connaître les marges d’une imprimante. Dans la fenêtre qui est proposée, choisissez l’imprimante et cliquez sur le bouton Imprimer. Le système présente en aperçu avant impression les marges de l’imprimante.
Lancer un autre outil
Cette procédure permet de lancer différents outils utilisés plus rarement et qui de ce fait ne sont pas accessibles directement par une option de menu. Il faut donc les lancer par le menu Outils/Autres outils/Lancer un autre outil. Vous obtenez une fenêtre qui présente différentes options :
Ouvrir une fenêtre Windev
Cela permet de lancer n'importe quelle fenêtre du logiciel dont on connaît le nom, à condition toutefois que la fenêtre ne nécessite aucun paramètre. Cette option est réservée aux experts LDPaye qui connaissent les noms des quelques fenêtres de reprise ou de correction qui peuvent s'avérer utiles dans certains cas.
Répertoire des données
Ouvre l'explorateur Windows sur le dossier dans lequel se trouvent les fichiers de données. Cette option ne fonctionne que dans le cas d'un dossier de paye géré en base HyperFile Classic, pas celui d'une base HyperFile Client/Serveur.
Liaisons de l'analyse
Cet outil permet de lister et/ou contrôler les liaisons entre les différentes tables au sein de la base de données relationnelles. Cela peut mettre en évidence des erreurs d'intégrité de cette base de données, par exemple des bulletins de paye référençant des salariés ou des rubriques qui n'existent plus.
Ce traitement peut être lancé par exemple suite à un problème survenu sur la base de données : coupure de courant alors qu'un calcul de bulletin était en cours par exemple... Ou dès lors qu'on a un doute sur l'intégrité de la base de données.
Mode d'emploi :
- Placez-vous sur l'onglet Contrôler, puis cliquez sur le bouton Contrôler en bas à gauche de la fenêtre. Le système contrôle alors l'intégrité de la base de données, pour la totalité des relations entre les différentes tables de cette base. Cela peut prendre plusieurs minutes.
- Les différentes erreurs d'intégrité ayant été détectées sont alors présentées en partie centrale de cette fenêtre, avec des possibilités de correction. Mais c'est l'affaire de spécialistes. En cas d'erreurs, il est préférable de vous rapprocher de votre prestataire habituel de services pour LDPaye.
Initialisation de cumuls cotisations
Cet outil permet d'initialiser les cumuls d'une cotisation donnée, à partir de ceux déjà connus d'une autre cotisation. Cela s'avère surtout utile quand on crée une cotisation en cours d'année, mais qu'on souhaite la calculer sur la base de cumuls depuis le début de l'exercice. Dans la fenêtre de lancement de ce recalcul, on doit indiquer :
- La société à traiter. Si aucun code société n'est indiqué, le système va traiter toutes les sociétés connues dans le répertoire de données courant.
- Le N° matricule du salarié à traiter. Si aucun matricule n'est indiqué, le système va traiter tous les salariés de la société indiqué plus haut, ou tous les salariés de toutes les sociétés si aucun code société n'a été indiqué.
- Le N° de la cotisation modèle, celle qui va être utilisée pour extraire les cumuls.
- Le N° de la cotisation à initialiser, celle dont les cumuls vont être créés. Notez que si des cumuls existaient déjà pour cette cotisation sur l'exercice en cours, le système commence par tous les effacer.
- Option Copier aussi le cumuls des bases. Par défaut, seuls les cumuls de brut, brut abattu, plancher et plafond sont copiés. En cochant cette option, le cumul des bases est lui-aussi copié. Cela évite un « rattrapage » de cette base lors du calcul du premier bulletin qui va suivre cette initialisation, quand la base du mois sera calculée à partir des cumuls annuels brut, brut abattu, plancher, plafond, avec soustraction de la base connue à fin du mois précédent.
- Option Recalculer les cumuls planchers-plafonds et les bases. Cette option est proposée dès lors que les coefficients plancher et plafond sont différents entre les deux cotisations référencées plus haut. Ainsi, par exemple, si on a une cotisation modèle en tranche A, on peut initialiser une cotisation définie en tranche B. Cela est bien pratique quand on doit par exemple « éclater » une cotisation paramétrée initialement et TA+TB en 2 cotisations TA d'une part, TB d'autre part.
Une fois tous ces éléments renseignés, il ne reste plus qu'à cliquer sur le bouton Initialiser pour lancer l'opération.
Attention : cette opération est irréversible. En cas de doute, faites une sauvegarde avant de lancer ce traitement.
Recalcul d'un cumul salarié
Cet outil permet de recalculer à posteriori un cumul salarié, avec différents options décrites ci-dessous. Dans la fenêtre de lancement de ce recalcul, on doit indiquer :
- Le nom du cumul à mettre à jour
- La société à traiter. Si aucun code société n'est indiqué, le système va traiter toutes les sociétés connues dans le répertoire de données courant.
- Le N° matricule du salarié à traiter. Si aucun matricule n'est indiqué, le système va traiter tous les salariés de la société indiqué plus haut, ou tous les salariés de toutes les sociétés si aucun code société n'a été indiqué.
- Le mois ou la période à traiter. Si l'on choisit Période, il faut la fixer en donnant le mois de début et de fin de celle-ci.
Le système va traiter le cumul demandé pour chaque bulletin de paie existant et répondant aux 3 critères ci-dessus : Code société si renseigné, N° matricule si renseigné, Mois ou Période demandés.
Notez que le système va mettre à jour les cumuls existants déjà, mais va aussi créer ceux qui n'existaient pas encore, mais qui du fait de la méthode de recalcul choisie plus bas ont une valeur non nulle (ou même une valeur nulle, s'il existe un cumul antérieur ayant une valeur non nulle, l'objectif étant dans ce cas de « forcer » la remise à zéro du cumul pour le mois recalculé).
- Le mode de recalcul, tant pour la valeur Après calcul que pour la valeur Après clôture (ces deux valeurs sont décrites au chapitre 7.1 Cumuls salariés et cumuls cotisations).
- Non modifiée : pour conserver cette valeur inchangée
- Nulle : pour remettre cette valeur à zéro
- Recalculée en fonction des reports de rubriques et cotisations. C'est la valeur la plus souvent utilisée. Elle permet de recalcul un cumul, suite à une modification du plan de paye, de telle sorte que les valeurs soient parfaitement cohérentes par rapport à ce qui est indiqué dans le plan de paye, pour ce qui est des reports de rubriques et cotisations sur ce cumul.
- Ajout de la somme des éléments ci-dessous. La somme des éléments indiqués à l'invite Éléments de paye à sommer sera ajoutée à la valeur déjà connue dans le cumul.
- Remplacée par la somme des éléments ci-dessous. La somme des éléments indiqués à l'invite Éléments de paye à sommer viendra remplacer la valeur déjà connue dans le cumul.
- Éléments de paye à sommer. A ne renseigner que si on a indiqué une des valeurs Ajout de la somme des éléments ci-dessous ou Remplacée par la somme des éléments ci-dessous pour le mode de recalcul de la valeur après calcul ou après clôture. Cette liste des éléments doit être indiqué en respectant la syntaxe suivante :
RRR1:X;RRR2:X;RRR3:X ou RRRn est un N° de rubrique ou cotisation et X est égal à N, M, P, C selon que l'on veut sommer le nombre, le montant, le montant patronal, le montant salarial et patronal. Le N° de rubrique ou cotisation peut être précédé du signe - pour inverser le sens de l'élément à sommer.
Exemple : 5900:M;-6010:C
- Période à sommer. 3 possibilités :
- Celle du bulletin sur lequel le cumul est créé ou modifié : c'est le cas où le cumul doit contenir une valeur mensuelle. On ne somme que les éléments du mois correspondant au cumul mis à jour.
- Du début de l'exercice (ou du contrat) au bulletin traité : c'est le cas où le cumul doit contenir une valeur annuelle. On ne somme les éléments depuis le début de l'exercice jusqu'au mois du cumul mis à jour.
On tient compte dans ce cas de l'option Multi-contrats définie dans la fiche du cumul, pour les périodes recalculées à partir de janvier 2022 : si le cumul est défini avec l'option Multi-contrats Non, RAZ au changement de situation sans reprise de cumuls, on ne sommera pas les éléments depuis le début de l'exercice, mais seulement depuis le premier bulletin de l'exercice ayant été calculé avec l'option Sans reprise des cumuls antérieurs.
- La période ci-dessous. On indique alors la période souhaitée, avec mois début et mois de fin.
Notez que dans ce cas, l'option Multi-contrats définie dans la fiche du cumul est totalement ignorée.
Une fois tous ces éléments renseignés, il ne reste plus qu'à cliquer sur le bouton Calculer pour lancer l'opération.
Attention : cette opération est irréversible. En cas de doute, faites une sauvegarde avant de lancer ce traitement.
Renumérotation de rubriques ou cotisations
Cet outil permet de modifier le numéro des rubriques et des cotisations, en indiquant un nouveau numéro pour chaque rubrique ou cotisation à renuméroter. On peut aussi, pour tout un ensemble de rubriques ou cotisations, procéder à une renumérotation par ajout d'un préfixe ou d'un suffixe au numéro déjà connu.
Attention : cette opération est irréversible. Il est vivement conseillé de faire une sauvegarde avant cette renumérotation.
A savoir : cet outil ne modifie pas les numéros de rubriques ou cotisations éventuellement référencés dans les fonctions personnalisées. Il vous appartient donc de vérifier soigneusement le code source de toutes les fonctions personnalisées suite à cette renumérotation.
Mode d'emploi :
- Après avoir effectué la sauvegarde qui est proposée, on arrive sur une fenêtre présentant la liste de toutes les rubriques et cotisations. Deux méthodes de renumérotation sont possibles :
- Soit on spécifie un nouveau numéro, dans la colonne 2ème colonne, pour les rubriques ou cotisations à renuméroter. Seules celles-ci seront alors traitées.
Attention à faire en sorte que ces nouveaux numéros n'entrent pas en collision avec ceux d'autres rubriques ou cotisations existant déjà.
- Soit on sélectionne un ensemble de rubriques ou cotisations (Ctrl Clic pour une sélection multiple, ou Majuscule Clic pour étendre une sélection), puis on clique sur un des boutons Préfixer ou Suffixer pour définir le préfixe ou suffixe à ajouter aux numéros des rubriques et cotisations préalablement sélectionnées. Le nouveau numéro apparait alors dans la 2ème colonne de celles-ci.
- Il ne reste plus alors qu'à lancer la renumérotation an cliquant sur le bouton Renuméroter. Seules les rubriques et cotisations ayant un nouveau numéro en colonne 2 sont effectivement renumérotées.
Remarque : ce traitement peut être assez long si vous renumérotez un grand nombre de rubriques ou cotisations et si vous gérez un grand nombre de bulletins.
Comparaison des assiettes entre cotisations
Cet outil permet de comparer les assiettes de différentes cotisations, en se basant sur la notion d'assiette de référence définie dans la Fiche des cotisations. Il analyse pour cela les différences sur les reports de rubriques entre une cotisation « modèle » et d'autres cotisations censées avoir la même assiette.
Mode d'emploi :
- On choisit une cotisation « modèle », celle par rapport à laquelle on va analyser les différences de reports de rubriques. Si on a mis en place le système des assiettes de référence, c'est normalement celle qui est définie en tant qu'assiette de référence.
- Puis on sélectionne quelles sont les cotisations que l’on veut comparer à cette cotisation modèle. Cette sélection peut se faire :
- soit via une assiette de référence si vous les avez mises en place,
- soit à défaut via une famille de cotisations,
- soit via un CTP URSSAF (un code cotisation agrégé). Renseignez dans ce cas le CTP concerné, mais aussi le code qualifiant assiette associé (920 ou 921).
- soit en indiquant une chaîne de caractères qui sera recherchée dans le libellé des cotisations. Seules les cotisations dont le libellé contient cette chaîne de caractères seront analysées.
Quelle que soit la méthode de sélection retenue, on peut aussi omettre certains cotisations de cette comparaison, en indiquant leurs numéros (avec un point-virgule comme séparateur) à l'invite Cotisations à omettre, ou en indiquant une chaîne de caractère qui sera alors recherchée dans le libellé des cotisations (on peut même indiquer plusieurs chaînes de caractères, en les séparant par un point-virgule).
Et de la même façon, sachant que la comparaison porte sur les reports entre rubriques et cotisations, on peut omettre certaines rubriques de cette comparaison, soit en indiquant leur numéros, soit en indiquant une chaîne de caractères qui est recherchée dans le libellé de celles-ci.
- Quand vous cliquez sur Analyser, le système présente toutes les différences de report entre les cotisations sélectionnées et la cotisation modèle. Ces différences sont signalées par différents repères de couleur dans la dernière colonne à droite. En plaçant la souris sur ces repères, une bulle d’aide vous précise la nature de la différence rencontrée.
Deux listes déroulantes situés au-dessus de la table présentant les différences permettent un filtrage complémentaire :
- A gauche, pour afficher toutes les cotisations contrôlées, que les reports de rubriques manquants, que les reports de rubriques en sus...
- A droite, pour masquer les rubriques suspendues (sachant que celles ne se calculant pas, elles n'ont aucune incidence sur les assiette des cotisations).
Attention : toutes les différences signalées ici ne sont pas des erreurs de paramétrage, loin de là. Surtout si vous n’avez pas encore mis en place vos assiettes de référence et que vous lancez une comparaison pour toute une famille de cotisations. Au sein de la famille 001-URSSAF, il existe de nombreuses cotisations qui n’ont pas l’assiette « standard » de Sécurité Sociale : les CSG-CRDS, les cotisations d’assurance chômage, les cotisations qui s’appliquent aux salariés bénéficiant d’exonération partielle ou totale (contrats de professionnalisation, apprentis…). Il faut donc être prudent avec les résultats présentés par cet outil et bien se poser la question de savoir, pour chaque différence mentionnée, quelle en est la justification.
Copie depuis une autre société
Cet outil permet de dupliquer des éléments de paye d'un plan de paye à un autre (quand on a deux répertoires de données). Pour l'utiliser, il faut se placer dans l'une des sociétés du plan de paye que l'on souhaite « enrichir ».
Mode d'emploi :
La fenêtre présente 3 onglets. Les deux premiers permettent de copier des rubriques ou cotisations (onglet 1) ou des cumuls (onglet 2). Leur présentation est très proche :
- En partie gauche, il faut sélectionner la société (et donc le répertorie de données, c'est à dire le plan de paye) à partir de laquelle la copie sera opérée.
- Dans le cadre en haut à droite, on indique la liste des numéros de rubrique sou cotisations (onglet 1) ou des noms de cumuls (onglet 2) qu'il faut copier. Utilisez le point-virgule pour séparer les différents éléments de cette liste.
- Une option Bloquer la copie si l'élément existe déjà dans le dossier courant. Si cette option est cochée, vous ne pourrez pas copier un élément (rubrique, cotisation ou cumul) du dossier origine s'il existe déjà dans le plan de paye courant. Sinon, un message d'avertissement vous prévient si l'élément existe déjà. En répondant Oui à cet avertissement, la copie se fera après avoir effacé toute trace de cet élément dans le plan de paye courant.
- Dans le cadre en bas à droite figure la liste des fichiers concernés par la copie. Pour les experts seulement, il est possible de ne sélectionner que le ou les fichiers dans lesquels on veut réaliser la copie. Par défaut, tous les fichiers contenant des données relatives aux rubriques, cotisations ou cumuls à copier sont présélectionnés pour la copie.
- Il faut ensuite lancer la copie en cliquant sur le bouton Lancer.
Le troisième onglet permet de contrôler la cohérence des reports (rubriques sur cumuls, cotisations sur cumuls, rubriques sur cotisations). Cela peut s'avérer utile pour contrôler le résultat final obtenu après les copies. En fonction des cases cochées sur ce 3ème onglet, le système va contrôler :
- Les reports de rubriques sur les cumuls
- Les reports de cotisations sur les cumuls
- Les reports de rubriques sur les cotisations
Dans les 3 cas, les contrôles ne sont réalisés que pour les éléments (rubriques, cotisations, cumuls) existant dans les deux plan de paye, celui sélectionné en partie gauche et le plan de paye du dossier courant.
Attention : il s'agit là d'une opération assez sensible ; elle doit être réalisée par une personne maîtrisant parfaitement le plan de paye et ayant une connaissance approfondie de LDPaye. Les copies se font sans contrôle de l'intégrité référentielle. Un contrôle d'intégrité référentielle doit donc être fait une fois les copies achevées (voir le paragraphe Liaisons de l'analyse ci-dessus). Et il faut même aller au-delà, car le contrôle d'intégrité référentielle ne signale pas certains incohérences qui peuvent être majeures pour le calcul des bulletins :
- Rubriques copiées dans le plan de paye, alors qu'elles sont alimentées par des constantes générales, constantes salariés, cumuls ou fonctions personnalisées qui n'existent pas dans le plan de paye courant ;
- Conditions sur éléments de paye faisant appel à des constantes générales, constantes salariés, cumuls ou fonctions personnalisées qui n'existent pas dans le plan de paye courant.
Tout cela doit être contrôlé méticuleusement une fois la copie effectuée.
Reprise de données salariés
Cet outil permet de reprendre des données salariés à partir d'un fichier au format CSV, facile à produire avec Excel. Cet outil est principalement utilisé en phase de démarrage de LDPaye, pour créer les salariés à partir de données extraites d'un autre logiciel de paye.
Une documentation complète de cette procédure de reprise est disponible sur notre site Internet, sur la page Documentation de LDPaye.
A savoir :
- Il existait il y a quelques années une procédure de reprise des donnée salariés basée sur un fichier DADS-U, puis N4DS. Depuis l'avènement de la DSN, ces fichiers DADS-U et N4DS ne sont plus disponibles. Mais avec LDPaye, on peut très facilement extraire d'une DSN mensuelle toutes les données salariés qui sont présentes en DSN (blocs 30-Individu et 40-Contrat, les placer dans un fichier Excel qui peut ensuite être exploité par la procédure de reprise décrite ici. L'extraction des données (l'export) depuis une DSN est décrit au chapitre 9.6.7 Export - Import de DSN.
- La DSN ne comporte pas toutes les données nécessaires au démarrage de LDPaye. Il y manque notamment les IBAN des salariés. La bonne méthode consiste donc à créer les salariés à partir de données extraites d'une DSN, puis à compléter ces fiches salariés dans un deuxième temps, soit manuellement fiche par fiche, soit par une deuxième opération de reprise faite à partir d'une feuille Excel contenant les données complémentaires, dont les IBAN des salariés, si on a pu extraire ces données de l'ancien logiciel de paye.
- Toujours en phase de démarrage de LDPaye, dans le cas où l'on a un grand nombre d'établissements (monde de l'immobilier principalement), cette procédure de reprise permet aussi d'importer des données Établissements, à partir de données Établissements extraites d'une DSN (blocs 06-Entreprise et 11-Établissement). Lors de cette extraction de données Établissements depuis une DSN, une option permet de récupérer des informations supplémentaires (Raison sociale notamment, qui ne figure pas dans une DSN) par un web-service fourni par l'INSEE. Attention toutefois : le nombre de requêtes que l'on peut envoyer à ce web-service est limité à 30 par minutes, l'export peut donc prendre du temps pour les sociétés avec beaucoup d'établissements.
Lancer l'interpréteur SQL
L'option de menu Outils/Autres outils/Lancer l'interpréteur SQL permet de lancer directement l’interpréteur de commande SQL de LD SYSTEME, outil nommé LDSQL si cet outil a pu être localisé. A défaut, il lance l'interpréteur de commande SQL de PCSoft, outil nommé WDSQL, si cet outil est lui aussi localisé (l'installation de cet outil est faite normalement en même temps que LDPaye).
Pour que LDSQL soit localisé, il faut avoir installé LDSQL sur le poste de travail (cela ne se fait jamais automatiquement directement via l'installeur de LDPaye, mais via un installeur dédié téléchargeable ici), et surtout l'avoir installé dans la même arborescence de répertoire que LDPaye. Ainsi, si LDPaye est installé sur C:\Ldsystem\Program\Paye, LDSQL doit être installé sur C:\Ldsystem\Program\LDSQL.
Si c'est LDSQL qui est lancé, on arrive directement sur le dossier (répertoire) courant de LDPaye, avec impossibilité de changer de dossier, sauf si l'on dispose d'une « clé » permanente pour LDSQL (on parle ici des mêmes clés que celles qui permettent de faire des mises à jour de données, voir Aide en ligne de LDSQL au chapitre Sécurités).
A savoir : dans un souci de sécurité, pour lancer l'interpréteur SQL depuis LDPaye, que ce soit LDSQL ou WDSQL, il faut que l'utilisateur courant soit Administrateur de sécurité ou dispose d'un niveau d'accès Administrateur sur le domaine de sécurité SQL pour la société courante.
Informations complémentaires : comme indiqué plus haut, quand LDSQL est localisé sur le poste de travail, c'est celui-ci qui est lancé en lieu et place de WDSQL. Si on veut lancer WDSQL, il faut tenir la touche Majuscule enfoncée lors du clic sur l'option de menu.
Lorsque c'est WDSQL qui est lancé, c'est la version de WDSQL la plus récente trouvée sur le poste de travail qui est lancée, en partant de la version 26 et en descendant jusqu'à la version 12. WDSQL est en principe installé dans le répertoire C:\Program Files (x86)\Common Files\PC SOFT\nn.0\WDSQL, où nn est le N° de la version.
Lancer l'optimiseur HyperFile
L'option de menu Outils/Autres outils/Lancer l'optimiseur HyperFile permet de lancer directement cet outil, proposé par PCSoft pour optimiser des bases HyperFile. Cet outil, nommé WDOptimiseur ou « Centre de maintenance HFSQL », est en principe installé en même temps que LDPaye. Le principal intérêt de cet outil est de pouvoir lancer une réindexation des fichiers avec des options plus sophistiquées que celles proposées dans l'outil de réindexation des fichiers inclus dans LDPaye.
Informations complémentaires : c'est la version de WDOptimiseur la plus récente trouvée sur le poste de travail qui est lancée, en partant de la version 26 et en descendant jusqu'à la version 12. WDOptimiseur est en principe installé dans le répertoire C:\Program Files (x86)\Common Files\PC SOFT\nn.0\WDOptimiseur, où nn est le N° de la version.